BLOG DE JUBA

De nombreuses personnes ont parfois frotté un stylo en plastique sur un pull en laine dans le noir pour pouvoir observer les petites étincelles qui se produisent. Ils ont frotté de même le stylo sur les cheveux et constaté comment ils se mettaient tout droit sur la tête ; ou bien, en descendant par un toboggan métallique avec des pantalons en flanelle, leurs cheveux se sont hérissés. Ces exemples domestiques sont la conséquence d’un phénomène croissant, qui dans les environnements de travail est un problème désagréable mais omniprésent appelé électrostatique, ou électricité statique. En définitive, il s’agit de l’énergie accumulée dans les objets et les corps, lorsque les atomes de surface se déstabilisent et affichent une charge négative ou positive plutôt que neutre. Ce phénomène est surtout dû à une friction avec d’autres objets. Comme les atomes ont tendance à retrouver leur neutralité, s’ils présentent un excès d’électrons, ils auront tendance à les céder pour s’équilibrer, et s’ils manquent de particules négatives, ils les prendront d’autres corps en surcharge, produisant un courant de corps à corps et le passage d’électrons. Ainsi, lorsqu’un corps en excès d’électrons (charge négative) et un autre en défaut (charge positive) entrent en contact, le négatif tend à les céder et une décharge se produit en direction du récepteur des électrons. D’où les poignées de châtaigne lorsque l’on touche le pommeau d’une porte ou d’un autre objet métallique. Quel est l’impact sur les environnements de travail ? Les risques d’explosions, de dommages électriques, de secousses électrostatiques et d’autres types d’incidents d’ampleur différente peuvent être stimulés par l’électricité statique. Les environnements de travail où les effets négatifs de l’électricité statique sont les plus visibles peuvent être divisés en deux options Les postes de travail où des décharges électrostatiques (ESD) peuvent être produites autour d’équipements et pièces électroniques sensibles, telles que les salles blanches consacrées à la fabrication de produits électroniques, nanotechnologies et semi-conducteurs. Le transfert de charge électrostatique n’affecte pas seulement les propriétés électriques des pièces électroniques, il peut également provoquer des pannes et le dysfonctionnement des équipements, interférant avec leur fonctionnement. La décharge présente également un risque important d’incendie lorsque des solvants ou d’autres matériaux inflammables doivent être manipulés dans l’environnement. Le personnel dans ces environnements de travail doit porter des équipements de protection individuelle (EPI) appropriés afin de minimiser voire d’éliminer tout transfert de charge entre le personnel et les équipements composants sensibles à la décharge électrostatique. Concrètement, les gants de travail dans ces environnements doivent être fabriqués pour minimiser voire éliminer l’électricité statique. Celles caractérisées par un risque d’explosion dû à la présence de matériaux inflammables ou volatiles. ATEX est l’abréviation du terme français pour les atmosphères explosibles : ‘Atmosphère Explosibles’. En même temps, ATEX est l’abréviation de la Directive européenne 2014/34/UE, également appelée ATEX 114. Conformément à la directive, tout objet pénétrant dans une zone ATEX doit être conçu, construit et utilisé de manière à ne pas accumuler d’électricité statique pour ce que l’on appelle le dissipateur statique ou le conducteur et, souvent, à tort, comme antistatique. Qu’est-ce que la norme EN 16350 ? Celle qui définit les conditions d’essai et les exigences pour les propriétés électrostatiques des gants de protection utilisés dans la zone ATEX, intégrant des fils conducteurs dans la doublure textile et le rembourrage. Juba a non seulement testé les gants antistatiques conformément à la norme EN 16350, mais a également réalisé les essais EN1149-1 et EN1149-3, qui sont repris dans la norme relative aux équipements électroniques EN61340. Ces essais mesurent la résistance superficielle des matériaux et la dissipation de la charge. Quelques références de Juba sur des gants antistatiques ? Dans le catalogue avec plus de 500 références de gants de travail Juba les gants antistatiques ou de protection à dissipation électrostatique (ESD) sont les suivants : PU1000 est un gant fabriqué en polyester et fibre de carbone recouverte de polyuréthane sur la paume. Un modèle avec support sans coutures en jauge 13 qui offre toucher, légèreté, souplesse et confort, tout en s’adaptant très bien à la main et offrant une excellente maniabilité. Une autre référence anti-statique caractéristique du catalogue Juba est la TKE03, un gant sans couture en nylon et fibre de carbone avec des pointes recouvertes de polyuréthane et de petits points de PVC sur la paume pour une meilleure adhérence en milieu sec ou humide. Dans la gamme des électrostatiques, le gant 141520 de Juba est fabriqué à partir de nylon et de fibre de carbone. Un modèle sans coutures qui est en outre fabriqué suivant le Standard 100 by Oeko-Tex donc exempt de substances nocives. Le modèle 141530 / H141530, un gant sans coutures en nylon et carbone recouvert de polyuréthane de qualité extra sur la paume, qui ne dégage pas de peluches. Tandis que 4422 POWER CUT avec couverture de polyuréthane offre une résistance à la coupe et intègre la fibre K-Rock. Un autre antistatique est le 4416 POWER CUT XTATIC, un gant sans coutures en fibre Dyneema® Diamond mélangé avec de la fibre de carbone, du nylon® et de la fibre lycra® recouverte de polyuréthane sur la paume et au niveau de la moitié du revers. Enfin, le gant 5683 a un triple revêtement en PVC sableux antistatique sur support coton sans couture donc, outre le fait d’être antistatique, il s’agit d’un gant surtout axé sur la manipulation de produits chimiques capables de s’enflammer en raison d’étincelles causées par de l’électricité statique. Tous ces produits de Juba sont disponibles en différentes tailles pour être utilisés dans des salles propres d’électronique, du secteur automobile, du domaine de la peinture ou des industries pétrochimiques, où il est important de contrôler la charge statique.

Juba a remporté la médaille d’argent d’EcoVadis, la plateforme mondiale la plus consolidée au niveau international pour qualifier la durabilité des entreprises, en évaluant différents critères, liés aux systèmes de gestion non-financiers. Lors de cette première évaluation, Juba obtient un score global de 67 sur 100, bien au-dessus de la plupart des entreprises du secteur. Ces résultats reflètent l’engagement de la société spécialisée dans les gants et les vêtements de travail en faveur de la responsabilité sociale des entreprises et contribueront à promouvoir des améliorations continues. Dans sa notation, EcoVadis a analysé les performances de Juba sur le plan de la durabilité environnementale, des pratiques de travail et des droits humains, de la réalisation d’achats durables et de sa conduite éthique, paramètres sur lesquels les analystes de la plateforme mondiale ont attribué à l’entreprise de très bonnes notes. Parmi les nombreuses mesures liées à la durabilité mises en place par Juba, on peut citer son pari fort sur l’utilisation de fibres créées à partir de matière végétale dans nombre de ses produits sous le nom de Juba Nature, la réduction du papier et du plastique dans son packaging ou encore sa collaboration avec la Fondation Ecomar. Il ne s’agit pas de la première certification de Juba. La société en dispose déjà d’autres comme les ISO 9001, 14001 et 45001. En outre, elle commercialise plus de 40 produits estampillés STANDARD 100 by OEKO-TEX de sécurité textile, qui vérifie que les gants ont été testés et ne possèdent pas de substances nocives pour la santé de l’utilisateur. Il s’agit du certificat le plus connu et le plus respecté au niveau international pour la sécurité des produits textiles. Pour le recyclage textile, Juba garantit la qualité, la transparence des produits et les pratiques durables grâce aux deux certifications de pointe qui existent aujourd’hui et développées par Textile Exchange: Recycled Claim Standard (RCS) et Global Recycle Standard (GRS). Enfin, parmi ses grands jalons en matière de durabilité, Juba dispose d’une Calculatrice d’empreinte carbone développée par Bunzl Spain, qui a obtenu la certification d’AENOR sur la base du GHG Protocol.

Plus de 6 000 professionnels du secteur ont reconnu le remarquable engagement de Juba envers la qualité et l'innovation. L'entreprise de la région de La Rioja a reçu les « Prix C de Quincaillerie et Bricolage » dans la catégorie des gants de travail, remis par le groupe C de Communication. « Les quelque 70 ans de parcours de la société ont marqué un engagement constant pour créer le produit de meilleure qualité et le plus avant-gardiste du marché », souligne Rebeca Moneo, directrice de la société. « Ce prix est un encouragement pour continuer à travailler dans cette direction afin d'offrir, chaque jour, la meilleure protection au travail", a-t-elle assuré. La valeur de ces récompenses réside dans le fait qu'elles se basent sur l'avis des professionnels du secteur qui décident, par leurs votes, des marques gagnantes. Concrètement, la société Análisis et Investigación, spécialisée dans les études de marché, a réalisé le processus télématique de collecte de données par le biais de questionnaires envoyés par courrier électronique à 6 392 professionnels. Le positionnement à la pointe de la technologie est le point commun entre tous les lauréats qui ont reçu leur prix en fin de semaine dernière lors d’un événement qui s'est tenu à Madrid. Comme Juba dans la catégorie des gants de travail, 50 autres catégories de produits ont été distinguées : Bosch pour les accessoires pour outils électroportatifs, Bellota pour les outils manuels agricoles, Kärcher pour les hydronettoyeurs ou Index pour les fixations métalliques.

Les gants pour four agissent comme protecteurs et peuvent aider à éviter les brûlures en permettant de mieux saisir les objets chauds pour manipuler facilement les éléments d'un four, les casseroles, les poêles ou les grils, entre autres. La caractéristique la plus importante de ces gants est leur capacité à protéger les mains des brûlures. Ils sont fabriqués à partir de matériaux tels que le Nomex®, le Kevlar®, le coton ou le PVC entre autres, offrant une bonne protection thermique. Dans notre catalogue, nous avons sélectionné les gants les plus appropriés pour cette utilisation. Nous souhaitons présenter tout d’abord la manique 280 avec fibre de Kevlar® en tissu éponge ambidiextra qui offre une résistance optimale à la chaleur par contact (500 °C pendant 15 secondes). De plus, il est doté d'un revêtement intérieur doux et confortable en Nomex® avec Kevlar® poinçonné qui offre une grande résistance à la chaleur. Ce même modèle est disponible avec un renfort supplémentaire dans la paume : notre modèle 280R et le modèle 28040 d’une longueur de 40 cm.     Nous pouvons aussi citer dans notre catalogue la manique 308 en croûte ignifuge avec anneaux métalliques dans la paume, avec une résistance optimale à la chaleur par contact (500 °C pendant 15 secondes). Son revêtement intérieur dans la paume en Nomex® est doux et confortable, et fournit également une haute résistance à la chaleur. Il est cousu avec du fil Kevlar® de sorte qu'il résiste aux coupures et étincelles de soudure. Il est même certifié pour un usage alimentaire.   Le gant de fibre para-aramide (Kevlar®) 5700 a un revêtement intérieur en coton résistant à la chaleur par contact (250 °C pendant 15 secondes). Il est très souple avec sa composition en maille et sa doublure intérieure en coton. Notre modèle 570034 est également disponible en longueur 34 cm.   Un modèle similaire au précédent est le gant DK72 en fibre para-aramide (Kevlar®) avec doublure en coton. Il est ultra-épais et offre une plus grande résistance à l'abrasion. Il résiste à la chaleur par contact (350 °C pendant 15 secondes) et présente un excellent comportement face à la flamme et à la chaleur convective.   Le guante H295 est notre best-seller pour barbecue, 100 % en coton éponge ignifuge. Il est très confortable et n'irrite pas la peau. Fabriqué avec manchon de sécurité, il est très facile à enlever et à enfiler. Il offre une résistance à la chaleur par contact de niveau 2 (250 °C pendant 15 secondes).   Nous pouvons également citer le modèle 5681 qui est un gant à double revêtement en PVC sableux sur support coton avec polyester et doublure pure foam isolante à l’intérieur. Ce revêtement intérieur aide à maintenir la température stable de vos mains jusqu’à -10 °C. De plus, il est très résistant à la chaleur par contact (250 °C pendant 15 secondes) et est certifié pour usage alimentaire en contact avec tous les aliments aqueux, acides et alcooliques jusqu’à 20 %.   Un autre modèle que nous souhaitons mentionner est le 5830 en latex naturel sur support coton. Il est totalement imperméable et résiste à la chaleur par contact grâce à son revêtement intérieur en coton (250 °C pendant 15 secondes). Il est certifié pour usage alimentaire et possède une étanchéité totale, conformément à la norme EN 374-2:2014, pour les bactéries et les champignons.   Enfin, nous tenons à mentionner le modèle 5235CC, ce gantelet est composé de polyester/coton et de feutre non tissé de polyester recouvert de nitrile. Très confortable grâce à sa doublure intérieure en feutre absorbant la sueur, il offre une bonne protection contre la chaleur par contact (250 °C pendant 15 secondes). De plus, il est certifié pour usage alimentaire et convient donc à la manipulation des aliments.